On peut également dire qu'elle permettrait de faire de la recherche pour occuper l'espace à des endroits habituellement inondables.
A ma connaissance, aucune recherche n'est faite sur la question, car jusqu'à aujourd'hui on ne s'est jamais vraiment préoccupé de ce problème, c’est le cas des maisons sur pilotis télescopiques qui ont une hauteur limitée contrairement aux maisons flottantes.
En fait, dans ce domaine, tout reste à faire. À la réflexion, tout concourt pour que nous allions vers des réalisations très agréables à habiter la mer, l’océan, les fleuves, les rivières, les lacs et dans les zones inondables à risque modéré. Ce type d'habitat fort sympathique et peu onéreux a un avenir très prometteur.
Habiter sur l'eau n’est pas une triste réalité que les habitants de la terre devront assumer un jour pour résoudre des problèmes de remontées des eaux et de surpopulations continentale. Au contraire cela correspond à une opportunité d’assouvir un désir profond chez l’Homme, désir qui se place au niveau des grandes pulsions qui l’habitent parfois et qui l’ont guidé au cours de son évolution. L’eau, matrice originelle, s’offre à nouveau à lui comme possibilité de cadre de vie, après qu’il ait franchi tous les stades de la terreur, superstition et de la crainte de l’inconnu. Toutes les technologies sont disponibles et mises à notre disposition puisque au jour d’aujourd’hui on est capable de construire des plateformes pétrolières offshore et de les habiter afin d’exploiter les fonds sous-marins. Le terrien d’aujourd’hui devra s’adapter et appréhender ses propres peurs afin d’évoluer et devenir le merrien de demain pour que rêve et passion constituent bien l’essence même du destin de l’Homme dans son effort de bâtir un avenir à sa mesure et dans sa volonté de donner un sens à sa vie, pour les enfants d’aujourd’hui et leurs rêves de demain.